7 choses à savoir sur la cycliste Kelsey Mitchell aux Jeux olympiques de Paris 2024

Premiers JO, première médaille d'or

Mitchell est devenue la deuxième personne à gagner une médaille d'or olympique pour le Canada en cyclisme sur piste, en 2021. Et ce, lors de sa toute première participation aux Jeux! Voici ce qu'elle a écrit dans une lettre publiée sur Radio-Canada à propos de cet exploit des plus remarquables : « quatre ans seulement après avoir enfourché un vélo de piste pour la première fois, je battais les meilleures sprinteuses du monde aux Jeux de Tokyo. Ç’a complètement changé ma vie ».

De plus, elle a été couronnée championne du monde en keirin en 2019 à Pruszków, en Pologne.

Elle a réalisé un livre à colorier

Les plus jeunes et moins jeunes fans des JO peuvent découvrir les talents créatifs de Kelsey Mitchell grâce à un nouveau livre à colorier. Conçu par la championne olympique, il permet d’en apprendre davantage sur les différents sports d’été avec une panoplie d'activités interactives et des dessins inspirants représentant les disciplines olympiques estivales.

L'athlète n'a pas voulu donner de visage aux personnalités sportives, car de cette façon, les enfants de tous les horizons peuvent s'imaginer compétitionner aux Olympiques.

Sur le site d'Équipe Canada, on peut lire que l'athlète a la volonté d' « éveiller la passion pour le sport et la créativité » par l'entremise de ce projet.

Elle est ambassadrice de la marque Lululemon

Cette personnalité sportive fait partie des athlètes ambassadeur.rices de la marque Lululemon pour les Jeux de Paris 2024. Dans une publication sur Instagram, Mitchell a écrit que la collection mérite une médaille d'or, qu'elle est fan de tous les vêtements, mais qu'on pourra la voir porter le poncho rouge 24/7, beau temps, mauvais temps.

Sa peur la plus « absurde » : l'obscurité

Alors que plusieurs personnes ont parfois des peurs irrationnelles, eh bien, les athlètes olympiques peuvent également être confrontés à des angoisses inexplicables ou même, un peu farfelue. C'est notamment le cas de l'Albertaine.

Voici ce que Kelsey a répondu à la cycliste canadienne Jacki Boyle lorsqu'elle lui a demandé qu'elle était sa peur la plus bizarre : « chaque fois que je me rend dans le sous-sol et que je remonte les escaliers, je cours, je ferme les lumières rapidement, et puis je sprinte », a-t-elle confié dans une vidéo promotionnelle des Jeux olympiques, en partenariat avec la Banque Royale du Canada.

Elle a pratiqué plusieurs sports avant le cyclisme

Avant de se lancer dans le vélo sur piste de haut niveau, Kelsey représentait l'équipe de soccer lu Northern Alberta Institue of Technologie où elle a obtenu son baccalauréat en administration des affaires. Mais la professionnelle a aussi pratiqué dans sa jeunesse la gymnastique, la ringuette, le basketball, le judo, le volleyball et bien d'autres sports. Et puis un jour, elle a entendu parler du Camp des recrues RBC auquel à 23 ans elle participe.

Son talent a ensuite été reconnu par un recruteur de Cyclisme Canada et on connait la suite!

Elle ressemble à l'actrice Blake Lively

Voici en rafale quelques informations amusante sur Mitchell, selon cette entrevue accordée à Buzz Feed Canada :

• L'actrice qui jouerait son rôle dans sa biographie : Blake Lively parce qu'elles se ressemblent
• Un conseil pour les nouveau.elles pédaleur.euses. qui prendraient les rues de Toronto : porter des shorts rembourrés, une sonnette et des lumières réflectrices
• Le nom de son vélo : eh bien, elle ne lui a jamais donné de nom!
• La chanson qu'elle fait jouer en boucle : Mona Lisa des chanteurs Lil Wayne et Kendrick Lamar

Elle s'est entraîné en Californie

Tout juste avant d'entamer l'année 2023, La Canadienne est partie s'entraîner avec des athlètes en Californie. C'est un désir de changer d'air qui l'a poussée à partir loin de l'équipe nationale, comme elle a pu en témoigner dans une lettre publiée sur Radio-Canada.

La raison qu'elle évoque est un besoin de grandir intérieurement et c'est ce qui est arrivé. « J’ai rencontré des gens formidables et pour tout dire, j’ai appris davantage sur moi-même en un mois là-bas qu’au cours des dernières années ». Ce qui ressort donc de ce pari de partir vivre à Los Angeles est que « ça [lui] a fait le plus grand bien ».