Claudie Mercier révèle sa pire expérience de tatouage et serait « accusée » de diffamation

Dans une vidéo YouTube parue le 7 février, Claudie Mercier a partagé sa « pire expérience » de tatouage alors qu'elle dit avoir été mal à l'aise à plusieurs moments lors de la séance.
Elle raconte donc ce qu'elle a vécu lorsqu’elle s’est fait tatouer le sternum alors qu’elle était âgée de 20 ans.
La sélection de l'éditeur :7 emplois à Montréal qui paient 80 000 $ par année ou plus en ce moment
Je me suis couchée sur sa table, j'étais complètement seins nus.
Claudie Mercier
Dès son arrivée dans le salon de tatouage installé chez lui, elle avoue avoir perçu un manque de professionnalisme, car son tatouage n'était pas prêt et le tatoueur était assis à table devant son déjeuner.
Mais c'est quand elle a dû se dévêtir afin de dévoiler son sternum et qu'il ne lui a rien donné pour se couvrir, en plus de manipuler sa poitrine, qu'elle dit s'être sentie très vulnérable.
« C'était un petit peu un moment de vulnérabilité pour moi, parce que je veux dire, je suis jeune, je me mets nue boule devant quelqu'un que je connais pas. »
« Et là il se met vraiment à me taponner les seins… Il me met de la crème engourdissante un peu pour pas que ça fasse trop mal, pis là tsé vraiment là, il me pogne le sein pis il me le ramène ici pour me mettre la crème. »
Suite à la publication de sa vidéo dans laquelle elle ne révèle pas l'identité du tatoueur, elle a partagé des story expliquant que certains abonnés avaient reconnu la personne concernée.
Claudie avait d'ailleurs, dans la vidéo, mentionné qu'il aurait déjà fait face à des dénonciations publiques par le passé.
Selon ce qu'elle affirme, le tatoueur l'aurait contacté pour lui faire part de recours judiciaire auquel il pourrait se résoudre à cause de la vidéo que Claudie a faite à son sujet.
« Suite à ma dernière vidéo YouTube, je me suis fait écrire par la personne en question qui veut me poursuivre pour diffamation. Je comprends que les victimes ont si peur de parler... »
« Moi je faisais simplement ma vidéo pour montrer aux jeunes adolescents et adolescentes que des comportements comme ça, ça ne passait pas. »
Elle explique que la vidéo n'était pas pour faire une plainte contre la personne, mais plutôt pour raconter son expérience. Elle termine en disant qu'elle demande conseil à des avocats, et que malgré la peur, elle souhaiterait garder sa vidéo en ligne.
Narcity a contacté Claudie Mercier pour en savoir plus, l'article sera mis à jour s'il y a une réponse.