Hélène Boudreau donne plus de détails sur le vol de 40 000 $ dont elle a été victime

« La personne a énormément fouillé… »

Hélène Boudreau.

Hélène Boudreau.

Dans les environs de janvier, la créatrice de contenu pour adultes Hélène Boudreau serait partie avec son copain Jessy Jones en Floride et aurait confié la clé de son appartement à une voisine pour qu’elle nourrisse son chat pendant son absence. Toutefois, à son retour, Hélène aurait réalisé qu'elle se serait fait dérober pour 40 000 $ par ladite voisine qu'elle considérait comme une amie.

De passage au balado Entre elle et lui mis en ligne sur YouTube le 1er mai, celle communément appelée « La fille de l'UQAM » a donné plus de détails concernant ce vol.

@heleneboudreauofficial

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Hélène a dévoilé que la police et les assurances ne peuvent la rembourser puisqu'il n'y aurait aucune preuve des 40 000 $ disparus :

« Moi je ne traîne jamais de cash, j'avais malheureusement 2 000 $, mais là j'ai passé par-dessus, 2 000 $ ce n'est pas beaucoup, je me suis dit " Bon okay, on ne va pas s'en faire", mais lui c'était son argent à lui [...]. La personne a énormément fouillé, il l'avait vraiment bien caché. Moi, je n'en étais pas consciente vraiment de ce cash-là, mais en tout cas. Malheureusement, je lui ai donné la clé pour qu'elle s’occupe du chat pis là c'est rendu la gardienne de chat la plus payée du monde. »

Elle a ensuite expliqué que c'est vraiment son amoureux Jessy qui a été le plus affecté par la situation :

« C'est plus Jessy qui a de la misère, c'est son argent. Moi, j'ai eu de la misère parce que c'était chez nous, notre chez-nous, donc j’ai plus eu de la misère à quitter. Chaque fois que je quittais mon chez-moi, c'est terrorisant. Tu as tout le temps le " Oh, est-ce que quelqu'un va venir [...]? " Puis dans l'immeuble, il n'y avait pas de caméras dans les couloirs, ni dans l'ascenseur, c'est quand même f*cké. »

La créatrice de contenu mentionne qu'il y aurait eu une enquête policière, qu'une équipe serait venue prendre les empreintes digitales chez elle, mais que puisqu'il n'y avait pas de caméras sur les lieux, il n'y avait pas de preuves suffisantes pour poursuivre les démarches.

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